Bulletin n. 1/2017
June 2017
INDICE
  • Section A) The theory and practise of the federal states and multi-level systems of government
  • Section B) Global governance and international organizations
  • Section C) Regional integration processes
  • Section D) Federalism as a political idea
    • Howarth David, Schild Joachim
    France and European macroeconomic policy coordination: from the Treaty of Rome to the euro area sovereign debt crisis
    in Modern and Contemporary France , Volume 25, Issue 2 ,  2017 ,  pp. 171-190
    French support for European (EC/EU)-level macroeconomic policy coordination has been driven by remarkably consistent preferences since the 1950s. With the exception of the de Gaulle decade (1958–1968), French governments have sought European-level mechanisms for balance of payments support. This article sets out to explain these remarkably stable French preferences on European-level macroeconomic policy coordination over time through a combination of an interest-based analysis referring to structural and competitive weaknesses of the French economy and an ideational explanatory analysis focused upon French Keynesian thinking on symmetrical adjustment of both deficit and surplus countries. French preferences align largely with the concept of ‘embedded liberalism’. This article also interprets a number of developments in EU-level economic governance in response to the banking and sovereign debt crises that provided a policy window for France to move European-level mechanisms and institutions towards long-held French preferences. Résumé La politique française en faveur de la coordination des politiques macro-économiques à l’échelle européenne est dirigée par les préférences remarquablement constantes depuis les années 1950. À l’exception de la décennie de Gaulle (1958–1968), les gouvernements français ont cherché des mécanismes au niveau européen pour soutenir la balance des paiements nationale. Cet article vise à expliquer ces préférences françaises consistantes au fil du temps à l’aide d’une analyse basée sur les intérêts économiques se référant à des faiblesses structurelles et la compétitivité de l’économie française combinée avec une analyse idéationnelle focalisée sur la pensée keynésienne en faveur d’un ajustement symétrique des pays déficitaires et excédentaires. Ces préférences françaises s’alignent largement avec le concept de « libéralisme enchâssé ». Cet article interprète également un certain nombre de développements en matière de gouvernance économique au niveau de l’UE/la zone euro en réponse à la crise de la dette souveraine qui a fourni à la France une ouverture politique de transformer les mécanismes et des institutions au niveau européen. http://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/09639489.2016.1259611
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